Dans la nuit du dimanche 20 juillet au 21 juillet, la Russie a lancé une énième attaque massive contre l’Ukraine :  426 drones et 24 missiles, dont des missiles balistiques. Kyiv, Kharkiv, Ivano-Frankivsk et plusieurs autres régions ont été visées.
Bilan : 15 blessés, dont un garçon de 12 ans. Deux personnes tuées.
À Kyiv, une station de métro où des civils s’abritaient, une école maternelle et des logements ont été touchés.
Le matin même, Jean-noël Barrot, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, arrivé à Kyiv comme invité d’honneur de la Conférence des ambassadeurs, s’est rendu à la station Loukianivska, frappée cette nuit.
La délégation française a vu de ses propres yeux les dégâts causés par un missile russe contre une infrastructure civile au cœur de la capitale.
Ces frappes visent à terroriser, à tuer, à briser. Elles frappent l’humanité. Elles frappent l’Europe.
L’Ukraine a besoin de plus de défense aérienne. Maintenant.
Intercepter, c’est sauver des vies.
Agir, c’est stopper l’agresseur.